samedi 16 novembre 2013


Détendez-vous, abandonnez-vous au flux d’Amour. Détendez toutes les parties de votre corps qui pourraient être crispées. Relâchez-les une à une, en balayant votre corps de haut en bas, et de bas en haut. Vous devez vous relaxer au maximum. Cette détente physique est la conséquence naturelle d’un esprit paisible. Comme le corps et l’esprit sont interconnectés, en agissant sur votre organisme vous apaisez automatiquement votre esprit. Détendre votre corps en toutes circonstances allègera votre psyché d’autant et vous ferez plus solidement face à toutes les difficultés rencontrées dans votre vie de tous les jours. Une fois bien relâché, focalisez toute votre attention sur votre respiration. Ressentez les sensations qu’elle vous procure dans votre buste. Surtout ne modifiez pas votre respiration, laissez-la redevenir totalement naturelle. Respirer harmonieusement est le meilleur moyen d’assurer un flux optimal de l’énergie d’Amour en vous-même. Dans cet état de Conscience pure, l’Amour-Force peut imprégner tous les plans de votre Être. Au niveau de votre corps physique, vous en faites l’expérience sous la forme de l’harmonie, de la guérison, de la santé. Vous pouvez le ressentir sous la forme de vibrations, de sensations de chaleur, de froid ou de picotements. C’est le signe que l’énergie circule à nouveau abondamment et librement en vous, réharmonisant l’ensemble de votre corps. Lorsque ces sensations se manifestent, ressentez-les intensément. Restez toujours dans l’observation équanime de ce qui survient. Accueillez les phénomènes tels qu’ils sont, sans chercher à les interpréter. Au niveau émotionnel, vous ressentez un état de grand calme intérieur avec une émotion de joie provenant du simple fait de vous sentir vivant. En laissant émerger votre Vraie nature, vous êtes épris d’Amour pour toute la Création. Vous n’avez pas à forcer cela, l’esprit de bénédiction prend possession de votre sphère mentale tout naturellement. Vous prenez conscience qu’en abandonnant vos anciens schémas de pensée et en vous reliant à ce que vous ressentez dans l’instant, vous renaissez à la Vie et rayonnez sur elle l’intelligence de votre Cœur. Lâchez, lâchez, lâchez... vous n’avez rien à craindre, vous êtes béni. Restez quelques instants dans ce contact étroit avec le flux d’Amour qui vous nourrit de l’intérieur et ancrez en vous la conviction que cet état d’Être n’est toujours qu’à une seule pensée de distance
L’homme moderne croit que sa vie et tous les problèmes dont elle est le théâtre ne peuvent être gérés que par l’entremise de son mental. En vérité c’est tellement plus simple que ce qu’il peut bien penser. Il lui suffit de lâcher-prise en acceptant, dans un élan de foi, de faire confiance au Divin. Comment ? Eh bien il ne s’agit pas d’une prière à adresser à un Dieu extérieur à soi, mais de prendre le regard du Divin en soi. Ce grand lâcher-prise, qui est en même temps une ouverture (du point de vue de l’individualité), est obtenu grâce aux trois clés que sont le ressenti, le relâchement et la correction de la posture. Se mettre dans un état de Présence à l’instant présent, de cette manière, apaise le mental et apporte de l’énergie à l’Âme. L’énergie vitale dont il est question est le prâna, la pure énergie d’Amour (shakti) en mouvement, que cet état de lâcher-prise permet de capter en juste mesure par une respiration qu’il aura permis de rendre naturelle et profonde.
En se laissant remplir par cette énergie, notre vibration change, sans aucun recours à l’imagerie mentale, simplement parce qu’on aura ainsi ouvert nos portes à la Lumière de la Conscience. Une fois remplis de cette Lumière, qui se ressent par un sentiment de bien-être, de force, de confiance, de joie, mais aussi par la créativité et la sensation d’être « nourris », nous savons que nous vibrons autre chose que la négativité qui auparavant nous maintenait enlisés dans les tréfonds ténébreux de l’ignorance de notre véritable nature. Et cette vibration agira comme une note, une harmonique particulière sur laquelle le monde extérieur pourra se calquer, et refléter ainsi (dans le respect de la Volonté divine…) notre vibration intérieure sous la forme de circonstances de vie qui, lorsque nous y serons confrontées, nous feront revivre le sentiment de bien-être, de force, de confiance et de joie, en nous permettant qui plus est de réaliser, par l’expérience, que nous sommes le Maître de notre vie, et que c’est en nous laissant transformer intérieurement par l’énergie d’Amour que notre réalité extérieure peut changer, comme par magie, sans pour cela avoir dû prendre les armes et combattre les éléments du monde extérieur. Nous aurons ainsi compris que la plus puissante des révolutions est toute intérieure, comme nous l’enseignent les Sages en nous invitant à entrer dans la dynamique de l’action non-agissante.

COMMENT VAINCRE LA PEUR
FAIRE FACE A SES OMBRES ET LES ACCEPTER EN AYANT CONFIANCE EN LA VIE QUI NOUS HABITE SAVOIR QUE NOTRE CORPS PEUT SUIVRE LE MOUVEMENT DE LA VIE NOTRE EGO EST NOTRE GARDE DU CORPS IL STOPPERA AUTOMATIQUEMENT TOUTE LIMITE INFRANCHISSABLE NOUS POUVONS RESSENTIR L'émotion la reconnaître la faire naviguer dans notre corps tout en sachant que l'amour du divin en nous à le pouvoir de nous en libérer le DIVIN PAR SON REGARD ALCHIMIQUE TRANSFORME ET ACCUEILLE COMME UN PARENT BIENVEILLANT TOUTES NOS PEURS EN PUR AMOUR

bodhiyuga spirale de Vie
Notre Âme n'en peut plus de ce mensonge permanent, de cette tyrannie intérieure ! Notre Âme ne veut qu'une chose : elle veut Sa Vérité ! Elle veut être libre ! Libre d'incarner ce pour quoi elle a entamé ce grand voyage… ! Pour cela il nous faut accepter de traverser tous ces passages étroits, ces "seuils intérieurs" qui nous semblent parfois infranchissables, et nous dépouiller de tout ce qui n'est pas nous, véritablement, en renonçant à être aimé, même, s'il le faut ! Curieusement, on ne trouve l'Amour qu'en lâchant le besoin compulsif de l'obtenir à l’extérieur… !
Ce grand voyage de l'Âme, c'est aussi le voyage de l'Amour qui veut s'incarner. Mais l'Amour a besoin d'espace pour se déployer dans nos vies. Or, nous ne lui offrons la plupart du temps qu’un petit espace sombre, encombré d’un amoncèlement de mémoires, de croyances et de conditionnements qui forment le voile au travers duquel nous percevons et interprétons la Vie. C’est ce voile que nous devons apprendre à soulever, à percer, pour sortir de l’illusion du désamour.
En effet, comment pouvons-nous incarner l'Amour si nous ne nous en croyons pas digne ? Comment pouvons-nous même l'envisager, alors que nous sommes persuadés qu'il faut être ou faire quelque chose de particulier pour le mériter ? Et surtout, comment incarner l'Amour, alors que dans les oubliettes de notre psyché, git une petite "créature misérable" que nous avons abandonnée !? Elle est la blessure originelle, le fruit du désamour, totalement identifiée à l'émotion du manque, au sentiment de non-valeur personnelle et d'indignité. Elle est le désespoir. Elle est la somme de toutes les mémoires d'abandon, de rejet, de jugement, de culpabilité, de honte, vécues au cours de notre histoire. Elle est la somme de toutes les actions néfastes commises à l'encontre de soi-même ou d'autrui.
Nous l’avons rejetée, cachée, reniée et pourtant, elle existe en chacun de nous. Refoulée, mais néanmoins bien vivante, elle tire les ficelles de nos existences, depuis l'ombre où elle se trouve. C'est elle qui porte la croyance profonde du manque d'amour et de la séparation. C'est elle qui cherche à compenser son sentiment de désamour dans ses relations avec les autres. C'est elle qui, se croyant nulle, indigne, inapte, génère une attitude, des comportements, qui ne sont pas en accord avec notre vérité profonde.
Nous la rejetons, nous ne voulons surtout pas savoir qu'elle existe en nous, surtout ne pas sentir cette "vibration" insupportable et pourtant omniprésente. Tout contact prolongé avec elle signe une sorte d'effondrement de l’image idéale que nous avons dû construire pour survivre. Et pourtant, à notre insu, elle se glisse entre nos yeux et la réalité. Elle est ce filtre qui crée en nous l'inconfort, le mal-être, la dépression… lorsque nous ne recevons pas suffisamment de manifestations d'amour, de gratifications, de satisfactions en provenance du monde extérieur. Ainsi, toutes les situations qui remettent en question nos rôles, nos masques, et les activités par lesquelles nous essayons de compenser notre sentiment de non-valeur personnelle, renforcent notre sentiment d'être nuls, démasqués, vulnérables, perdus.
J'ai traversé."
Oui, nous pouvons rester là ! Oui, nous pouvons accueillir avec douceur et bienveillance ce flot d’émotions refoulées, de souffrances, de peurs et d'attentes. Être à l’écoute de ce qui est vivant et sensible en soi. Rester au plus près de nos mouvements intimes, les ressentir et les embrasser. Porter un regard conscient sur nos évènements (intérieurs comme extérieurs) pour éclairer nos schémas, nos croyances et nos conditionnements. De cette manière, nous pourrons "intégrer" les blessures et les traumatismes du passé, et nous libérer progressivement de nos dépendances affectives.
Ainsi, nous connaîtrons un sentiment de plénitude trouvant son origine dans notre nature profonde et authentique, au lieu de chercher à compenser le manque inhérent à la condition humaine au travers de nos relations.
Nous découvrirons alors que l’Amour est déjà là, en nous, et tout autour, et qu’il ne nous manque rien pour en faire pleinement l’expérience.

Là où la peur est plus forte que la conscience.
Là où la honte et le désamour sont autant de déchirures, d'envies d'en finir.
Sentiment d'indignité, de solitude.
Là où ça ne respire plus, où le seul mouvement est celui de la fuite.
Je vois mon choix de chaque instant :
vivre dans le mensonge, porter un masque, faire semblant
ou risquer de rencontrer, la honte, le sentiment d'être nulle, inapte, indigne.
Je crois que si quelqu'un voit ce que je suis réellement, il va me juger, me rejeter.
Là, dans cet échange, dans cet autre... il ou elle ne m'a pas validé.
C'est là, ça tremble, ça s'échappe. Surtout ne pas y aller.
Et si j'y allais...?
Et si je restais là, à sentir ce qu'il tricote dans l'ombre et qui me terrifie ?
Mon sentiment de nullité, l’enfant blessé, abandonné...
J'y suis. Ça brûle de partout.
Pour rester entière, je me sens crier intérieurement que c'est l'autre le méchant !
Qu'il ne me comprend pas, qu'il se trompe, qu’il se croit supérieur à moi !
Si je ne peux pas le rejeter, je suis obligée d'accepter ma nullité !
C'est lui ou moi.
Je ne dois surtout pas montrer ce que je ressens vraiment.
Je dois lutter silencieusement pour ne pas m'effondrer et sauver les apparences...
J'y suis. Ça brûle de partout.
Dans ma poitrine il y a comme un trou.
Ma peau brûle. J’ai envie de pleurer. Je reste.
J'accueille cette douleur, mon émotion.
Ça dit que je suis nulle, indigne d'être là.
Je la connais depuis longtemps cette histoire...
Je reste.
C'est étrange, il y a comme un silence.
Ah bon, on ne fuit plus ? On peut rester là ?
Je sens les muscles de mes épaules et de ma poitrine se relâcher tout doucement,
ce qui permet à un soupir de s'échapper.
Le trou dans la poitrine se remplit de douceur,
la brûlure devient peu à peu une sensation de chaleur rassurante.
Cette chaleur c'est de l'Amour. De l'Amour qui circule en moi, librement…
J'ai traversé."
Chaque fois que je tais une émotion (par peur de choquer l'autre et risquer de le perdre), chaque fois que je fais semblant d'être heureuse (alors que profondément une parole ou un acte m'a blessé), chaque fois que je dis oui, alors qu'au fond c'est non (car j’ai peur qu’on me juge), chaque fois que je fais quelque chose de contraire à mon élan profond (pour satisfaire quelqu'un d'autre), chaque fois que je prononce des mots auxquels je ne crois pas (parce que j'ai honte de ce que je ressens vraiment)... je me trahis et je m'éloigne de mon authenticité."
Nous vivons dans un monde qui a érigé l’illusion au rang de vérité. Nous montrons rarement ce que nous ressentons, ce que nous pensons vraiment, ni même ne nous l'avouons !
La plupart de nos activités sont basées sur le déni d'une partie de notre réalité. Nous vivons dans une culture de la dissimulation, et le mensonge est au cœur de notre psyché. Il est un paradigme fondamental enraciné dans notre peur de disparaître et notre demande d’amour.
Nous sommes entraînés à créer des personnalités artificielles desquelles nous devenons dépendants pour obtenir de l'attention, être aimés, validés, reconnus, avoir du succès, bien vendre, garder ses acquis… et "fonctionner" plus ou moins efficacement dans le monde.
Cette dépendance est un véritable piège liberticide qui nous coupe progressivement de notre véritable nature. Nous troquons notre réalité profonde contre un semblant d'intégration sociale. Nous sacrifions notre vérité sur l’autel de la sécurité et de la conformité.
Notre attachement à une "image idéale" de nous-mêmes nous éloigne de notre sensibilité, nous empêche d'expérimenter l'amour et nous prive de relations authentiques avec l'autre.
LE MEILLEUR MOYEN DE CHANGER D'état de pensée c'est de l'accepter la ressentir,sous la forme de vibration dans son corps ,la faire circuler dans le corps en respirant avec elle,et la laissé passer sans aucune implication émotionnelle,l'énergie divine présente en nous l'énergie christique transmute aussitôt la peine ou la douleur et l'ombre la négativité est désintégrée par la lumière qui est pur moment de bonheur